En chemin pour Jaipur, à l’issue de notre visite du fort d’Amber, j’ai envie de goûter l’une de ces noix de coco que les femmes vendent au bord des routes. Quelle juteuse idée ! Je me régale de l’eau d’une noix verte avant de la faire ouvrir à la machette par la vendeuse en sari qui en extirpe pour moi la couche de pulpe crémeuse. Loris, mon chéri, rebuté certainement par le nuage de mouches qui se balade au dessus des fruits ne veut pas tenter l’expérience. Il ne sait pas ce qu’il rate !

Le bonheur tient parfois dans une noix de coco, Jaipur (2016).

Noix de coco d’amour, Jaipur (2016).
Un groupe d’enfants d’une huitaine d’années nous aborde ensuite afin nous proposer des tours de magie ce que j’accepte volontiers. Je n’ai jamais vu de ma vie autant de pièces (roupies) sortant de nos oreilles, de notre nez et même de la braguette de Loris ! Le petit spectacle improvisé durera cinq ou six minutes mais je suis morte de rire du début à la fin parce que le jeune garçon qui réalise les tours le fait avec beaucoup d’humour et il méritera largement sa rémunération une fois sa représentation terminée.

Magicien de rue entouré de son crew, Jaipur (2016).

Le petit magicien de rue qui pince mon nez pour en faire tomber des pièces, Jaipur (2016).
En dehors du fort d’Amber, édifice enchanteur et incomparable, Jaipur nous a également charmés par ses constructions aux couleurs rosâtres. L’histoire raconte qu’un roi britannique, venu rendre visite au maharaja de Jaipur, l’aurait félicité pour la beauté de sa ville et lui aurait conseillé de la repeindre en rose afin de la rendre unique. Suivant ses conseils avisés, le maharaja aurait alors fait entièrement colorer la ville qui porte ainsi aujourd’hui le nom de ville rose. Nous avons pu en apprécier l’architecture et le quotidien plein de vie en nous baladant dans le marché des locaux et les rues commerçantes où j’ai pu acquérir de petits bols en cuivre typique pour presque rien.

Marché local,Jaipur (2016).

Marché local, Jaipur (2016).

Marché local, Jaipur (2016).

Marché local où j’ai pu goûter ces petits fruits noirs que l’on trouve sur tous les étals et que les indiens appellent « blackberries » (mais qui ne sont pas des mûres…), Jaipur (2016).
Ces blackberries, comme les appellent les indiens, ont une peau noire et un peu âpre, un petit noyau au centre et une chair blanche et sucrée : un régal !

Marché local, Jaipur, vendeurs d’oeillets d’Inde (2016).

Marché local, Jaipur, vendeurs d’oeillets d’Inde (2016).

Délicieux thali traditionnel préparé spécialement à notre demande dans un restaurant qui ne l’avait pas sur sa carte, Jaipur (2016).

Vache sacrée, Jaipur (2016).
Ici, on trouve des vaches partout. Sur les routes nationales comme dans les villes, voir même sur certaines autoroutes. Elles sont reines. En temps qu’animal sacré, on ne doit pas les bousculer, leur faire du mal et personne n’essaie de les déplacer. Et bien entendu, l’hindouisme interdit qu’on les mange ! L’abattage des bovins est d’ailleurs interdit dans toute l’Inde. La viande de boeuf que l’on trouve dans certains restaurants est toujours issue de l’importation.

Vache sacrée, Jaipur (2016).

Rue marchande, Jaipur (2016).

Rue marchande, Jaipur (2016).

Jaipur (2016).

Jaipur (2016).

Porte, Jaipur (2016). Toujours mon grand amour pour les portes et les arches…

Palais des vents, Jaipur (2016).

Palais de la mousson, Jaipur (2016).

Charmeur de serpents, Jaipur (2016).

Charmeur de serpents, Jaipur (2016).

Charmeur de serpents, Jaipur (2016).

Charmeur de serpents, Jaipur (2016).
Nous avons également pu visiter le City Palace de Jaipur et le centre d’astronomie que je vous laisse découvrir en images.

City Palace, Jaipur (2016).

City Palace, Jaipur (2016).

City Palace, Jaipur (2016).

City Palace, Jaipur (2016).

Immense jarre de 345 kg, d’une contenance de 4091 litres. Il y en a deux exposées. Il fallut fondre 14 000 pièces de monnaie en argent pour les confectionner. Elles servirent à transporter l’eau du Gange nécessaire aux ablutions du maharaja lorsqu’il se rendit en Angleterre en 1902. City Palace, Jaipur (2016).

City Palace, Jaipur (2016).

Cour Pitam Niwas Chowk avec l’une de ses quatre portes (une pour chaque saison). City Palace, Jaipur (2016).

Cour Pitam Niwas Chowk avec l’une de ses quatre portes (une pour chaque saison). City Palace, Jaipur (2016).

Cour Pitam Niwas Chowk avec l’une de ses quatre portes (une pour chaque saison). City Palace, Jaipur (2016).

Centre d’astronomie, Jaipur (2016). Sous mon signe du scorpion.

Centre d’astronomie, Jaipur (2016). Loris à côté de son signe astrologique (Taurus).

Cadran solaire. Centre d’astronomie, Jaipur (2016).

Le plus grand cadran solaire du monde, fiable à deux secondes près. Centre d’astronomie, Jaipur (2016).

Centre d’astronomie, Jaipur (2016).

Centre d’astronomie, Jaipur (2016).
J’aime énormément ton blog!je crois que je vais revenir souvent😃
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